samedi 22 septembre 2007

Mais toujours aussi noir

Si j'ai bien tout suivi, au début était Jesus First Christ, groupe dark psychédélique aujourd'hui défunt dont sept albums enregistrés entre 2000 et 2006 sont disponibles sur Jamendo. Voici par exemple le quatrième :



Toujours si j'ai bien compris, le guitariste de Jesus First Christ continue seul sous le nom d'Organic Despair, dans un style plus trip-hop mais toujours aussi noir. Son dernier album, est sorti voici quelques jours à peine, toujours sur Jamendo.


Un rock mélodique bien carré


Les Grasshopers, qui ont six morceaux sur AirMusic, pratiquent avec "Coléoptère à usage privé" un rock mélodique bien carré illustré sur le site par de jolies photos prises en concert, comme celle de la pochette de leur démo, ci-dessus.

Teigneux juste comme il faut


Nonsense a 22 morceaux sur EasyZik, et les albums de ce groupe marseillais, "HxC losers since 1997", sont en libre téléchargement (et en ogg, les amateurs apprécieront) sur leur site officiel. Du bon hardcore qui décoiffe, teigneux juste comme il faut — "Spleen DFL" en témoigne.

Pour le moins étrange

Mini Projekt est encore un de ces groupes mystérieux trouvés sur Boxson. "Kummix Kub", dédié à "all the people of the basque country", est pour le moins étrange avec son piano jazzy et sa basse gravement compressée.


D'une concision exemplaire


"Binary Mind est né de la collaboration artistique de deux frères jumeaux, en 2002. Par nos activités artistiques, nous cherchons à exprimer le processus de la recherche de la lumière à partir de l'obscurité." Cette déclaration d'intentions d'une concision exemplaire, piochée sur Go-Go Musique, me semble une introduction amplement suffisante à "La maison de la charité", que l'on peut par exemple trouver sur Boxson.

Non sans une certaine nostalgie


Talking Cure, de Chambéry, est un vieil inscrit sur Dogmazic, puisque ses premiers morceaux datent du mois de mars 2005. Il y en a désormais dix-huit au total, dans des styles pour le moins très variés. "Ballad Of A Drunkard", par exemple, s'inspire des années 80, non sans une certaine nostalgie.

vendredi 21 septembre 2007

Et de quatre !


Le quatrième volume des Compiles à Marcel est tout frais en ligne. Cette fois, c'est la fête à l'électronique. Plus de précisions ici. Pour télécharger la compile, c'est .

jeudi 20 septembre 2007

Quelque part entre le rock et le bruit à l'état pur


Dead Joshua est l'un des plus remarquables représentants du collectif Revolution Sound Records. Seul avec sa guitare et son 4-pistes, il développe un univers musical sombre et saturé, quelque part entre le rock et le bruit à l'état pur. Que dire de "!", sinon qu'il s'agit de son morceau le plus court ?



Histoire de ne pas en rester là, voici une interview de Dead Joshua en provenance Du pays de la peur :

Pourrais-tu te présenter ?

— Entrer dans la salle tv de la résidence universitaire, la nuit, c'est un peu comme entrer dans la 4ieme dimension. Y'a là des chaises et des étudiants, immobiles, en train de fixer un truc étrange dans l'obscurité. Un truc qui clignote et qui projette de chouettes ombres de chaises et d'étudiants immobiles... j'en suis sidéré. ça mérite bien un café-clope, histoire de réfléchir un peu à tout ça. Je me trouve donc un coin tranquille, pour m'y accroupir avec mon gobelet tout chaud, et je me dis qu'il faudrait mixer le petit vacarme que je suis en train de composer avec un fond sonore. Une fréquence inutilisée de ma radio, peut-être. Ou un riff de gratte à l'envers, à peine audible... J'y retourne.

Donc, tu réalises tous tes morceaux seul avec une guitare, un quatre pistes et des samples, c'est bien ça ?

— Oui. Vers 1995/96, j'ai rencontré Ben. Un type vraiment génial. Il avait un quatre piste sur K7 et on passait notre temps libre à y coller des arrangements basse/guitare/boite à rythme. On avait aussi d'autres activités, comme faire des excursions nocturnes, déguisés en ninjas et armés d'un nagra, histoire de sonoriser les pigeons dans les usines désafectées. Mais plus tard, le coup du quatre pistes, ça m'a manqué, et j'ai peu à peu rassembler le matériel pour pouvoir à nouveau enregistrer mes morceaux.

Tes morceaux se partagent entre un rock lo-fi très noisy et minimaliste et des titres plus expérimentaux, comme par exemple « Collapse » et « ! ». Vois-tu une continuité de l'un à l'autre ? Ou bien s'agit-il de facettes différentes de ta sensibilité musicale ?

— Eh bien... Un jour, j'ai rencontré Stéphan. Il avait transformé toute une pièce, chez lui, en laboratoire audio. Y'avait des diagrammes étranges scotchés aux murs, des cables dans tous les sens et des claviers de synthés reliés à des machines avec tellement de potards dessus qu'on se serait cru dans le cockpit d'un vaisseau spatial ! C'était hallucinant les sons qui sortaient de son installation... Plus tard, je suis tombé sur une simulation PC d'un synthé analogique. Rien à voir avec la machinerie de Stéphan, mais j'ai fait quelques « branchements », et ça a donné « Collapse ». Disons que y'a des trucs que j'ai entendu et qui m'ont laissé un souvenir suffisamment fort pour me donner envie d'en faire ma propre version, pour voir. Je me suis aussi essayé au trip-hop, mais là, j'étais pas vraiment au point...

Quelles sont tes références essentielles en matière de musique ?

— Ah... Noir Désir, dans les premiers albums (j'ai dansé un slow inoubliable sur « Marlène »). Hum... Les Pixies, Sépultura. Le deuxième album de [no one is innocent] m'a scotché la première fois que je l'ai entendu. Le coup de mélanger des riffs de gratte bien puissants avec des sons un peu radio... Ah ! Et puis l'album « Antichrist Superstar », de Marilyn Manson. Ils ont vraiment eu de trés bonnes idées sur cet album. Et on y trouve quelques interventions de Trent Reznor (Nine Inch Nails aussi, j'adore). Sinon, en vrac: Sonic Youth, les Thugs, the Cure, the Jesus Lizard, le collectif NIMP, les Beastie Boys. Y'a aussi quelques monuments du rock que j'apprécie, comme Pink Floyd, les Rolling Stones, les Doors, Janis Joplin...

Pourquoi choisir de chanter en anglais ?

— Ben je me souviens par exemple d'un morceau de Korn, où le chanteur dit « I'm just a faget ! ». Avec un pote, ça nous faisait délirer, parce que ça ressemblait presque à « j'veux juste une baguette ! ». Alors on imaginait Korn débarquer dans une boulangerie, avec le groupe au complet, ils balancent la musique et le chanteur se met à gueuler tout ce qu'il peut dans le micro et il hurle: « j'veux juste une baguette ! ». Mais bon, c'est peut-être pas la seule raison qui fait que je chante en anglais... Mais rien pour ça, ça vaut le coup de s'y mettre.

Comment, et quand, est né le « projet » Dead Joshua ?

Vers 1999, Philips lancait les premiers graveurs de CD grand public. Je revenais d'une balade en ville et là, dans ma piaule en résidence universitaire, avec ma vue imprenable sur les lampadaires du parking, j'ai réalisé d'un coup qu'avec mes instruments et mon quatre pistes, il me manquait plus qu'un graveur pour pouvoir faire mon propre CD. J'ai alors commencé à faire des arrangements, un peu comme des « best-of ». Et puis je faisais un nouveau morceau et je revoyais du coup l'ensemble du CD. Au fur et à mesure que mon CD évoluait, de temps en temps, je lui trouvais aussi un nouveau nom. Et puis un jour, j'ai pensé à « dead joshua ». Au départ, c'est donc le nom d'un CD, d'un arrangement de morceaux. Et puis c'est un nom auquel je me suis attaché, et c'est finalement comme ça j'ai décidé de me présenter quand je me suis mis à diffuser mes morceaux sur internet.

Tu es présent sur de nombreux sites de musique dite libre. L'existence de ces nouveaux moyens de diffusion a-t-elle joué un rôle dans la création de tes morceaux ? Ou bien est-ce juste une occasion dont tu as profité ?

— Un peu des deux. Quand je me suis mis à diffuser mes morceaux sur le web, j'ai commencé par me faire un petit site perso. Et puis je me suis mis à faire des recherches pour trouver des sites où je pourrais ajouter des liens vers le mien. Je suis alors tombé sur musique-libre.org (qui s'appelle maintenant dogmazic.net), et c'est comme ça que j'ai découvert les licences de libre diffusion. Donc au départ, c'est clairement une occasion dont j'ai profité. Et puis récement, je suis tombé sur un texte (« Maladroit », de Mammaroma) publié sur revolutionsoundrecords.org, avec une licence Creative Commons by-nc-sa. ça veut dire, entre autres, que Mammaroma en autorise les oeuvres dérivées. C'est un texte qui m'a plu et je l'ai repris dans un de mes morceaux, que je publie maintenant avec la même licence...

Quel bilan tires-tu aujourd'hui de la diffusion via les sites de musique libre ?

— Une sorte de prise d'indépendance des auteurs concernant la diffusion de leur musique. Les licences qui accompagnent ces diffusions constituent des appuis juridiques facilement abordables et sont en plus suffisament précises pour savoir ce que l'auteur autorise ou non concernant son oeuvre. Mais j'ai tendance à penser que ça s'inscrit dans un mouvement plus général. Y'a pas si longtemps que ça, encore, lorsqu'un artiste voulait sortir un album, et bien la plupart du temps il se mettait en relation avec un studio, ce qui impliquait au passage de se trouver un « protecteur » qui accepte de financer le projet. Maintenant, les moyens de production sont beaucoup plus accessibles et y'a de plus en plus de musiciens qui sont en même temps leur propre ingénieur du son. Là, et bien ça va encore plus loin, dans le sens où les licences libres permettent aux musiciens, déjà artistes et producteurs, de gérer aussi eux-même la diffusion de leur musique.

À quand un deuxième album ?
— Héhé ! j'y pense, j'y pense... Mais pour le moment, je sais pas encore trop. J'ai encore tout un stock de vieux sons dans lequel je pourrais piocher, histoire d'en cuisiner quelques-uns. D'autre part, depuis que je publie avec des licences libres, y'a des amorces de projets communs avec d'autres musiciens, via internet... Bon ça, c'est vraiment tout récent. Je sais pas encore trop ce que ça va donner, mais y'a des chances pour que le prochain album comporte quelques collaborations. Voilà, voilà, donc je suis ça de près en ce moment, et puis on verra bien...

Propos recueillis en septembre 2006


En guise de conclusion, voici "Lampadaire austère", où Dead Joshua chante pour la première fois en français :

Reggae rapide et cuivré


Les Troubaroots sont originaires de l'Isère et je n'en sais pas plus sur eux, sinon qu'ils ont six titres sur Boxson, parmi lesquels "Les Bads du quotidien" et que leur reggae rapide et cuivré doit bien faire bouger les pieds — et pas seulement — dans leurs concerts.

Si intéressante, si typique


Dans le monde de la musique libre, il est rare de trouver une bio aussi longue et détaillée que celle de Crypthole. Surtout si l'on considère que le groupe en est à sa première démo et n'a que quatre morceaux en ligne sur Boxson. Et elle me paraît si intéressante, si typique, que je ne peux pas résister au plaisir de la reproduire ci-dessous, ainsi que la présentation de ce bruyant orchestre de teenagers pleins d'un enthousiasme tout aussi juvénile qu'eux-mêmes.





Crypthole, groupe localisé en Saône-et-loire (71), composé d’un guitariste/chanteur (Jijou), d’un guitariste (Teyen), d’un bassiste/chanteur additionnel (Romain) et d’un batteur fraîchement déniché (Toiny) ; évolue dans un Death Metal teinté de Rock n’ roll, aux influences telles que : Morbid Angel, Slayer, Entombed, Death, Suffocation, Gorefest, Bloodbath, etc…


Contrairement a ce que notre nom pourrait laisser penser, nous ne nous rabaisserons pas à la tradition du style qui consiste, au choix ; à régurgiter des paroles gore inintelligibles, ou à vociférer les vers du démon. Nos textes sont réalistes, parlent de diverses choses qui nous paraissent importantes et sont empreints parfois d’un contenu explicite, n’en déplaise a certains.
Notre moyenne d’age est de 18 ans (Ouarf c’est des jeunôts hé, ça a même pas encore le bac et ça se prend pour des death-métalleux), le groupe n’a pour l’instant que deux ans de travail derrière lui, et le nombre de nos compos terminées s’élève a 4 ! Notre demo est sortie, elle est en écoute sur myspace...


BIOGRAPHIE :


Crypthole est né de la rencontre inattendue en mai 2005 de Romain, guitariste, avec Fabien, bassiste de Bloody Scar ; lors d’un petit concert d’accompagnement du groupe de rock local Commissaire Juve, organisé par leur prof de guitare commun. A la rentrée de septembre, les deux énergumènes se retrouvent dans le même lycée a Tournus, et Romain fait la connaissance l’un après l’autre des deux autres membres du groupe de Fabien ; les guitaristes Jijou et Teyen. Très vite, l’envie de former un groupe en commun se fait ressentir. Le nom Bloody Scar disparaît ; pour laisser place a Crypthole, nom du groupe que Romain avait formé un an plus tôt avec son ami Julien, mais qui n’avait pas marché. Un autre individu du lycée, un certain Spradelle, essayera pendant quelques temps d’assurer la batterie, mais son manque de savoir-faire et sa détestable façon d’être pousseront les autres a refuser au bout de trois essais, et de devoir tant bien que mal continuer l’aventure sans batteur.


Il y a au départ un petit problème de line-up, le groupe étant doté de 3 guitaristes et d’un bassiste, ce qui est totalement incongru. Jijou et Romain proposent donc a Fabien d’abandonner son poste de bassiste pour se consacrer au chant, et demandent a Teyen de ressortir sa vieille basse. Les repets on lieu au tout début chez Romain, dans une petite salle froide et non-insonorisée, pas vraiment adaptée a ce genre d’activité. Au fil du temps, les différences de gouts musicaux entre Fabien, fan de néo-metal basique, et le reste du groupe, plutôt axé sur l’extrême ; se font terriblement ressentir, et bloquent la progression du groupe. Au mois de décembre, Romain, Jijou et Teyen se mettront d’accord pour que Fabien quitte le groupe, et Jijou prendra sa place au micro, assurant également la guitare. Jijou et Teyen continueront toutefois à jouer pendant quelques temps avec leur ami Fabien dans un groupe parallèle appelé Roswell.


Après une courte période sans repet, ou la motivation générale semble être au plus bas, Crypthole est enfin relancé pour de bon. Jijou ayant révélé ses capacités gutturales jusque la inconnues, il devient donc le chanteur principal de Crypthole, et Romain propose de l’accompagner dans ce domaine avec un chant secondaire, plutôt typé Hardcore, pour pouvoir varier le tout. Les compos anodines et les tentatives de reprises se succèdent au sein du groupe, jusqu’à ce que, en février 2006, Teyen trouve la perle rare ; à l’aide de trois ou quatre riffs monumentaux trouvés au hasard : "Human Parricide". La chanson reste pendant quelques temps sans nom et sans paroles, mais Jijou vient y ajouter ses lyrics, ce qui lui donnera cette appellation. La première véritable song de Crypthole est alors créée, et le groupe y trouve son identité propre.


Comme le lycée organise tous les ans un concert général de ses groupes en fin d’année, Crypthole tient fermement a y participer. Le groupe se concentre donc sur "Human Parricide", et travaille également sur une reprise de Morbid Angel, "Dawn of the Angry". Après quatre mois de repet chez Jijou, ces deux chansons sont les seules jouées en ouverture par le groupe un soir de 6 juin 2006 (06/06/06, date purement fortuite !) ; sans batteur, sur une estrade dans le self de l’établissement, avec une sono extrêmement négligée et devant un public des plus hostiles au genre pratiqué ; si on exclue la demi-douzaine d’individus ayant pris part au jeu en se bousculant mutuellement de façon ridicule…
De plus, la reprise de Morbid Angel sera totalement ratée, l’absence de batteur pour tenir le tempo y étant grandement responsable. Bref, un echec casi-total, mais des musiciens pas honteux pour autant de leur première prestation ! La motivation est toujours présente et, malgré un été casi-vide de repets et un Teyen qui semble se ramollir, l’histoire continue.


Ayant vu le résultat d’un concert sans batteur, le groupe décide donc de chercher sérieusement la pièce manquante, en s’attaquant a Chalon-sur-saône et alentours, dans l’espoir qu’un batteur de death tombe un jour sur une des multiples annonces placardées partout dans toute la ville. Et c’est d’ailleurs ce qui se passe ; vers la fin de l’été David, batteur du groupe chalonnais de Trash/death Akrilium et ex-batteur du groupe de heavy sympho Prophecy ; contacte le groupe pour savoir de quelle veine il s’agit. Mais le principal intéressé refuse finalement, le style pratiqué ne lui convenant pas.
Mais les espoirs ne sont pas totalement perdus puisque, quelques jours plus tard, a la rentrée de septembre dans son nouveau lycée, Romain fait la connaissance de Toiny, fan de Metal jouant avec autant de talent la guitare que la batterie. L’éventualité devient donc une évidence : Crypthole a enfin trouvé son batteur ! Parallèlement, Teyen et Romain échangent leurs postes instrumentaux, la démotivation de Teyen semblant venir de son rôle dans le groupe. Romain sera donc bassiste et Teyen guitariste.


C’est a partir de la que le groupe prend réellement forme : le jeu de Toiny et sa maitrise de la double font prendre a la musique une dimension jusque-là inconnue, les nouvelles compos affluent ; la chanson "Memory Betrayed", composée et écrite casi-intégralement par Romain, est abordée et travaillée d’arrache-pied. Les repet sont plus sérieuses et plus longues, et ont lieu la plupart du temps dans les locaux de la Cave a Musique et chez Toiny. Car de nouveaux concerts sont en projet !


Le lycée de Romain et Toiny organise une série de concerts de l'ensemble des groupes de Macon au profit des Restos du Coeur. De octobre a février les repets se succèdent, puis le jour J arrive. 6 minutes étant le temps maximum par groupe, "Memory Betrayed" sera donc jouée le 5 et le 7, plus ou moins bien d'ailleurs ; et "Human Parricide" sera réalisée casi-parfaitement le 6 ; le tout devant un public allant de 600 a 800 personnes chaque soir. Public composé a 90% de pères et mères de famille venant voir leurs fistons jouer, ainsi que de quelques jeunes lycéens n'hésitant pas a mettre l'ambiance, malgré le style assez brut pour un spectateur lambda. A noter que WhyNot, 2eme groupe de Toiny, a également joué ces soirs la, avec le principal intéressé a la guitare ; et que les 2 prises de "Memory Betrayed" de Crypthole ont été filmée.

Étrange et mystérieuse


Symbol Of Subversion, originaire de Saint-Nazaire, enregistre une musique étrange et mystérieuse dont "Immersion provisoire" donne une petite idée. Retrouvez ses cinq morceaux sur Dogmazic.

Qu'on y jette une oreille

Malgré un son un peu plat et une mise en place parfois approximative, le EP trois titres d'Assez Pauline sur Jamendo mérite qu'on y jette une oreille. Excellentes compositions dans le genre pas évident du rock mélodique. Vivement la suite de ce Préambule !

mercredi 19 septembre 2007

L'Étoile de la mort

Deathstar a cinq albums sur Jamendo, site auquel il rend hommage sur l'un des morceaux de cet EP sous influence nippone.